lundi 28 juillet 2014

Quand on voit ce qui existe, et quand on voit ce qu'on se tape...


Tous les coiffeurs ne sont pas pédés. J'en veux pour preuve que c'est mon coupeur de tif attitré de l'époque qui m'enseigna il y a de nombreuses années cette forte maxime relative à la gent féminine : "Quand on voit ce qui existe et quand on voit ce qu'on se tape..."

Je m'étais contenté d'un petit sourire pour toute réponse, étant persuadé à ce moment-là que j'avais un ticket avec la plus belle fille du patelin (ce en quoi la vie, qui ne fait pas de cadeau, n'allait pas manquer de punir cet orgueil fort mal placé), une magnifique brune dont le prénom médiéval et les postures altières exaltaient mon imagination romantique.

Bref, tout ça n'a aucun intérêt si ce n'est que cette fameuse phrase de mon coiffeur (qui se l'est fait piquer ensuite par les Inconnus) m'est revenue l'autre jour, non pas en pensant aux femmes (je préfère désormais les laides, qui donnent autant de bonheur une fois qu'on s'est habitué), mais en pensant aux présidents.

Quand on voit ce qui existe ...



...et quand on voit ce qu'on se tape...



Et bin quoi ?

Et bin ça fait mal au cul, voilà  ce que ça fait.


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